À partir du 9 juin 2025, Donald Trump interdit l’entrée aux États-Unis aux ressortissants de 12 pays, dans un effort déclaré de renforcer la sécurité nationale. Cette décision fait suite à un récent incident violent dans le Colorado, où un homme d’origine égyptienne a attaqué des manifestants, causant plusieurs blessés. Donald Trump interdit l’entrée aux USA aux ressortissants de 12 pays en justifiant que ces mesures sont essentielles pour protéger la population américaine contre les menaces étrangères. Ce nouveau décret migratoire marque un durcissement des règles déjà initiées lors de son précédent mandat, avec une liste de pays ciblés différente de celle de 2017.
Les pays concernés par cette interdiction sont l’Afghanistan, la Birmanie, le Tchad, la République du Congo, la Guinée équatoriale, l’Érythrée, Haïti, l’Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan et le Yémen. Cette sélection résulte d’évaluations du gouvernement américain selon lesquelles ces États ne garantiraient pas un contrôle suffisant des voyageurs vers les États-Unis. Donald Trump interdit donc l’entrée aux USA aux ressortissants de 12 pays, invoquant la nécessité de mieux filtrer les flux migratoires pour éviter que des personnes potentiellement dangereuses ne pénètrent le territoire américain. En parallèle, des restrictions plus limitées sont appliquées à sept autres pays, notamment Cuba et le Venezuela.
Le président américain souligne que les ressortissants de ces pays représentent un risque accru car, selon lui, ils dépasseraient souvent la durée de validité de leurs visas ou ne subiraient pas de vérifications rigoureuses. Donald Trump interdit ainsi l’entrée aux USA aux ressortissants de 12 pays pour limiter ces défaillances dans le système d’immigration. Il affirme que les États-Unis ne peuvent pas se permettre d’avoir une politique d’immigration « ouverte » avec des pays dont les systèmes de contrôle sont jugés insuffisants. Cette prise de position illustre la volonté affichée de Trump de prioriser la sécurité sur l’ouverture.
Le contexte de cette interdiction fait écho à l’attaque récente à Boulder, Colorado, où l’assaillant avait un permis de travail obtenu après avoir demandé l’asile, bien que son visa touristique ait expiré. Cette situation a mis en lumière des failles dans la gestion des entrées et des statuts des étrangers aux États-Unis. Donald Trump interdit l’entrée aux USA aux ressortissants de 12 pays en réponse directe à cet événement, soulignant que la sécurité nationale doit primer sur les facilités d’accueil.
Toutefois, certaines exceptions sont prévues. Les détenteurs de visas spéciaux et les individus dont la venue « sert l’intérêt national » ne seront pas affectés. Par exemple, les athlètes participant à la Coupe du monde de football 2026, coorganisée par les États-Unis, le Mexique et le Canada, ainsi que les sportifs des Jeux olympiques de Los Angeles en 2028, seront exemptés de ces interdictions. Ce choix traduit une volonté de concilier mesures de sécurité et engagements internationaux majeurs. Donald Trump interdit donc l’entrée aux USA aux ressortissants de 12 pays, tout en ménageant des dérogations pour certains profils stratégiques.
Les critiques ne se sont pas fait attendre. Amnesty International qualifie cette nouvelle mesure de « discriminatoire et cruelle », pointant du doigt le caractère sélectif et potentiellement raciste de cette politique migratoire. Par ailleurs, Donald Trump a annoncé des restrictions supplémentaires visant les étudiants étrangers, notamment ceux souhaitant intégrer Harvard, ce qui traduit une volonté d’encadrer sévèrement l’accès aux institutions américaines pour certains profils.